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ISNELLE AMELIN à RéUNION LA PREMIèRE

Par Drucilla Maillot

Dans le cadre de la semaine de la presse, deux de nos élèves de la TGAB, Elisabeth Oceane et Maillot Drucilla se sont rendues à Reunion la 1er afin d’assister à la construction de l’information grâce à une demi-journée en compagnie de journalistes. Une des deux élèves Maillot Drucilla nous raconte cette expérience.

Le début de la journée

Nous sommes le vendredi 28 mars et nous avons rendez-vous Océane et moi, accompagnées de notre professeur Mr Laporte, dans les bureaux de Reunion 1er  afin de suivre le quotidien de journalistes chargés d’informer au mieux la population réunionnaise. Ainsi pour commencer nous sommes conduits dans la salle de rédaction où se réunit toute l’équipe comme chaque matin. Ils se réunissent autour de cette grande table afin de discuter des différents sujets du jour à traiter dans le journal de la mi-journée. Ensuite le rédacteur en chef distribue les taches pour la journée et pour finir il demande l’avis ou les idées de chacun pour les futurs reportages. Il décide alors de nous envoyer avec une équipe sur le béton afin d’assister à toute la mise en forme du reportage. 

Sur le terrain

Il est 9 heures passée lorsque nous allons dans la salle où la camérawoman  prépare toutes ses affaires et c’est avec beaucoup de rapidité et de stress qu’elle nous présente brièvement son matériel. Toujours dans la même ambiance nous embarquons en voiture tout en laissant derrière nous notre professeur qui, accompagné d’une autre équipe, va assister à une réunion sur le vote du budget à la Région. Arrivées sur les lieux, à la cité Les Gaspards de Sainte Marie, nous découvrons avec effroi un balcon suspendu, effondré la veille. On suit comme on peut la journaliste et la cadreuse toujours aussi stressée mais réellement concentrée. Elle commence immédiatement à prendre toutes sortes de plans de la scène. Elle nous confie son téléphone afin de prendre en photo le balcon pour le poster sur le journal interne.

la journaliste interroge un maximum de personne sur les lieux.

Les infos prisent, les journalistes se réunissent afin d’interviewer le représentant du maire. La cadreuse souhaite qu’il se place devant le balcon afin que les téléspectateurs puissent analyser la scène pendant que celui-ci parle. Elle se met un peu en contre plongée pour que le point de vue soit parfait.

Ensuite nous nous rendons dans l’appartement concerné, où un expert est sur les lieux pour connaïtre les raisons de cet effondrement.  La cadreuse a eu le temps d’effectuer quelques prises de vues quand soudain les propriétaires des lieux nous interpellent pour nous demander de sortir car l’entrée de l’appartement est interdite. Toutefois les deux journalistes semblaient fières d’avoir des images exclusives.

Retour au bureau et montage du reportage

Arrivées sur place nous suivons la journaliste qui se place sur un ordinateur afin de choisir les éléments les plus importants de ce qui ont été filmés, elle fait le minutage des séquences puis se rend dans une autre salle afin que le reportage soit monté. 

Il est 10h45 et le monteur d’image discute avec la journaliste pour voir les éléments qui lui conviennent le mieux. Le travail vidéo fait, la journaliste lit son texte, rédigé dans la voiture, qui accompagnera les images. Sa voix qui porte, est très  impressionnante.

A 11h35, nous nous rendons en salle d’enregistrement où la journaliste s’enferme et va coordonner son texte avec l’image en compagnie d’un ingénieur du son qui l’enregistre et corrige ce qui ne va pas. Le montage est alors fini.

Par Drucilla Maillot

Dans le cadre de la semaine de la presse, deux de nos élèves de la TGAB, Elisabeth Oceane et Maillot Drucilla se sont rendues à Reunion la 1er afin d’assister à la construction de l’information grâce à une demi-journée en compagnie de journalistes. Une des deux élèves Maillot Drucilla nous raconte cette expérience.

Le début de la journée

Nous sommes le vendredi 28 mars et nous avons rendez-vous Océane et moi, accompagnées de notre professeur Mr Laporte, dans les bureaux de Reunion 1er  afin de suivre le quotidien de journalistes chargés d’informer au mieux la population réunionnaise. Ainsi pour commencer nous sommes conduits dans la salle de rédaction où se réunit toute l’équipe comme chaque matin. Ils se réunissent autour de cette

grande table afin de discuter des différents sujets du jour à traiter dans le journal de la mi-journée. Ensuite le rédacteur en chef distribue les taches pour la journée et pour finir il demande l’avis ou les idées de chacun pour les futurs reportages. Il décide alors de nous envoyer avec une équipe sur le béton afin d’assister à toute la mise en forme du reportage. 

On suit comme on peut la journaliste et la cadreuse toujours aussi stressée mais réellement concentrée. Elle commence immédiatement à prendre toutes sortes de plans de la scène. Elle nous confie son téléphone afin de prendre en photo le balcon pour le poster sur le journal interne. la journaliste interroge un maximum de personne sur les lieux. Les infos prisent, les journ-

-alistes se réunissent afin d’interviewer le représentant du maire. La cadreuse souhaite qu’il se place devant le balcon afin que les téléspectateurs puissent analyser la scène pendant que celui-ci parle. Elle se met un peu en contre plongée pour que le point de vue soit parfait. Ensuite nous nous rendons dans l’appartement concerné, où un expert est sur les lieux pour connaïtre les

raisons de cet effondrement.  La cadreuse a eu le temps d’effectuer quelques prises de vues quand soudain les propriétaires des lieux nous interpellent pour nous demander de sortir car l’entrée de l’appartement est interdite. Toutefois les deux journalistes semblaient fières d’avoir des images exclusives.

Sur le terrain

Il est 9 heures passée lorsque nous allons dans la salle où la camérawoman  prépare toutes ses affaires et c’est avec beaucoup de rapidité et de stress qu’elle nous présente brièvement son matériel. Toujours dans la même ambiance nous embarquons en voiture tout en laissant derrière nous notre professeur qui, accompagné d’une autre équipe, va assister à une réunion sur le vote du budget à la Région. Arrivées sur les lieux, à la cité Les Gaspards de Sainte Marie, nous découvrons avec effroi un balcon suspendu, effondré la veille. 

Retour au bureau et montage du reportage

Arrivées sur place nous suivons la journaliste qui se place sur un ordinateur afin de choisir les éléments les plus importants de ce qui ont été filmés, elle fait le minutage des séquences puis se rend dans une autre salle afin que le reportage soit monté. Il est 10h45 et le monteur d’image discute avec la journaliste pour voir les éléments qui lui conviennent le mieux. Le travail vidéo fait, la journaliste lit son texte, rédigé dans la voiture, qui accompagnera les images. Sa voix qui porte,  est   très   impressionnante.

A 11h35, nous nous rendons en salle d’enregistrement où la journaliste s’enferme et va coordonner son texte avec l’image en compagnie d’un ingénieur du son qui l’enregistre et corrige ce qui ne va pas : montage fini.

Diffusion du reportage

Il est midi et notre matinée mouvementée touche à sa fin. Nous retrouvons alors notre professeur en régie afin de suivre la diffusion du journal. Nous ressentons clairement le stress dans la salle, surement la peur que tout ne se passe pas comme prévu. Nous avons entre les mains le programme du journal, étape par étape, minute par minute, à la seconde près pour pouvoir suivre tout ce qui se passe. Une fois le journal terminé, toute la pression se relâche. Nous nous rendons compte qu’ils n’ont pas un métier facile et qu’il en faut beaucoup pour que les citoyens soient correctement informés.

 

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